Nous étions attablés aujourd’hui dans une très belle maison : le Schantzwasen. Nous vous en reparlerons très bientôt car la cuisine fut belle et nos hôtes bienveillants et pro.
A la table voisine Jean-Paul Deybach (ferme auberge du Treh) régnait en patriarche affirmé. Nous n’avons, nous et nos voisins, pas voulu entendre les quolibets peu raffinés qui nous étaient adressés ; il s’agissait entre autre d’ironiser sur ce nous écrivions sur notre site et, pire encore, de relents que certains ont connus il y a plus de 80 ans, dirigés contre Michel Schertzinger (ex Sondernach Ried).
La belle tablée s’est levée et, passant à côté de nous, nous voulions serrer la main de Jean-Paul Deybach (ce que les gens civilisés font régulièrement).
Refus de sa part. « On se connait nous? » fut sa réponse prononcée sur un ton qui ne laisse planer aucun doute sur le type de sentiments qu’il nourrit à notre égard. S’en suivirent des menaces et des doigts vengeurs pointés sur nous.
Cet accès haineux est d’autant plus difficile à saisir que ce monsieur, en réponse à la question « Mais avez-vous lu ce que nous écrivions sur le Treh ? » répond négativement en se vantant de n’avoir jamais ouvert un ordinateur de sa vie.
Pour nos fidèles suiveurs, voici nos conclusions sur cet établissement : « La ferme-auberge du Treh est bâtie sur du granit, et cette réalité physique déteint avec bonheur sur les hôtes du lieu. Les personnalités sont solides comme le roc, fières de leur travail et de leurs produits. Le propos est cohérent, clair mais sans fioritures. Tout ici exprime le respect des valeurs d’authenticité et de qualité. En somme, simplement ce que l’on attend d’une ferme-auberge.
Ou, comment préserver son âme tout en tenant compte du réalisme économique indispensable à la réussite d’une entreprise. » Comme Jean-Paul Deybach ne lit jamais, certains pourront peut-être lui rapporter ces propos et aussi tout le bien que nous pensions de SON marcaire !
Ces agressons verbales vont-elles nous faire taire comme l’exige un petit quarteron de personnes peu soucieuses de la liberté d’expression et de la diversité d’opinion ?
NON ! Même si le scénario de La Haine 2 est en train de s’écrire.